vendredi, décembre 21, 2007

Compétitions de l'UEFA: Champions League et UEFA Cup

Voici les matchs pour le début de l'année prochaine:

*** UEFA CUP ***
16es de finale de la Coupe UEFA 2007/08
Matches aller : 13/14 février
Matches retour : 21 février
1. Aberdeen FC (SCO) - FC Bayern München (GER)
2. AEK Athens FC (GRE) - Getafe CF (ESP)
3. Bolton Wanderers FC (ENG) - Club Atlético de Madrid (ESP)
4. FC Zenit St. Petersburg (RUS) - Villarreal CF (ESP)
5. Galatasaray AS (TUR) - Bayer 04 Leverkusen (GER)
6. RSC Anderlecht (BEL) - FC Girondins de Bordeaux (FRA)
7. SK Brann (NOR) - Everton FC (ENG)
8. FC Zürich (SUI) - Hamburger SV (GER)
9. Rangers FC (SCO) - Panathinaikos FC (GRE)
10. PSV Eindhoven (NED) - Helsingborgs IF (SWE)
11. SK Slavia Praha (CZE) - Tottenham Hotspur FC (ENG)
12. Rosenborg BK (NOR) - ACF Fiorentina (ITA)
13. Sporting Clube de Portugal (POR) - FC Basel 1893 (SUI)
14. Werder Bremen (GER) - SC Braga (POR)
15. SL Benfica (POR) - 1. FC Nürnberg (GER)
16. Olympique de Marseille (FRA) - FC Spartak Moskva (RUS)


*** UEFA CHAMPIONS LEAGUE ***
8es de finale de la Ligue des Champions 2007/08
Matches aller : 19/20 février
Matches retour : 4/5 mars
1. Celtic FC (SCO) - FC Barcelona (ESP)
2. Olympique Lyonnais (FRA) - Manchester United FC (ENG)
3. FC Schalke 04 (GER) - FC Porto (POR)
4. Liverpool FC (ENG) - FC Internazionale Milano (ITA)
5. AS Roma (ITA) - Real Madrid CF (ESP)
6. Arsenal FC (ENG) - AC Milan (ITA)
7. Olympiacos CFP (GRE) - Chelsea FC (ENG)
8. Fenerbahçe SK (TUR) - Sevilla FC (ESP)

Répartition par pays:
1. Angleterre = 4 equipes
2. Espagne = 3 equipes
3. Italie = 3 equipes
4. Allemagne = 1 equipe
5. France = 1 equipe
6. Grèce = 1 equipe
7. Turquie = 1 equipe
8. Portugal = 1 equipe
9. Ecosse = 1 equipe


Les meilleurs championnats nationaux ont placé leurs meilleures équipes. Aucune surprise ne devrait arriver pour les finales au mois de Mai 2008.

Meilleures voeux pour les fêtes de fin d'année.

dimanche, décembre 02, 2007

Euro 2008: Encore Italie - France

Tirage au sort du prochain Euro 2008 du 7 au 29 juin 2008 en Suisse et en Autriche.

Groupe A Groupe B
Suisse Autriche
République tchèque Croatie
Portugal Allemagne
Turquie Pologne

Groupe C Groupe D
Pays-Bas Grèce
Italie Suède
Roumanie Espagne
France Russie

Les groupes A et C se jouent en Suisse. Les groupes B et D se jouent en Australie.
Les pays organisateurs n'ont aucune chance de passer la phase de poule:
- La Tchequie et le Portugal semblent intouchables pour la Nati (Suisse). Seule une victoire contre les Turcs peut donner un peu de joie aux Suisses.

- Les Autrichiens ne devraient se faire aucune illusion contre la Deutsche Mannschaft et les surprenants Croates (tombeurs des Anglais en phase de qualification). Un match nul contre les Polonais me semble possible.


Le groupe de la mort se joue à Zurich et à Berne: Italie, France, Pays-Bas et Roumanie. Tous peuvent prétendre aux quarts de finale. 2 Champions du Monde, 3 Champions d'Europe et un outsider de pointe. Les matchs seront tendus.


Vivement le mois de Juin 2008.

jeudi, novembre 29, 2007

Foot en RDC

Le Daring club motema pembe (DCMP) a remporté hier au stade des Martyrs, la Super Coupe de Kinshasa, en battant en finale, l’US Amazone par 3-0.
Les buts du Daring ont été marqués par Germain Ziba, à la 25e et 30e minute de jeu. Ambwa Aponga a aggravé la marque à la 79e minute.
Prochaine sortie pour les tous nouveaux champions de Kinshasa, ce dimanche face à l’AS Elonga, dans le cadre de la première journée du championnat provincial de Kinshasa, phase de poule.

Restons dans la capitale congolaise pour vous dire que c’est finalement l’AS Bana Véa qui jouera au championnat de l’Entente provinciale de football de Kinshasa (Epfkin) pour le compte de l’Entente urbaine Kinshasa-Tshangu pour la saison 2007-2008.
La Fédération congolaise de football association (Fecofa) a réhabilité Bana Véa dans le litige qui l’opposé à Canon de 13.
Le club de Mokali à Kingasani était parti en évocation à l’instance fédérale après s’être senti lésé par les décisions aux premier et second degré par la Ligue de football de Kinshasa (Lifkin).
Le litige opposant les deux équipes concernait l’alignement du joueur Luyeye Mpanzu non qualifié à prendre part au championnat de première division de l’Eufkin-Tshangu. Le joueur a pris part aux huit derniers matches livrés par Bana Véa dans le cadre du championnat. L’équipe a remporté sept des huit matches par forfait. Certains de ces matches ne sont pas allés jusqu’à leur terme.

dimanche, octobre 21, 2007

AMABHOKOBHOKO

L'Afrique du Sud est championne du Monde de Rugby.

C'est énorme et c'est parfaitement mérité. La meilleure équipe du monde, la plus complète (en attaque et en défense), la seule qui a gagné tous ses matchs, le sort ne pouvait pas lui être défavorable.

Je suis extrêmement heureux de cette victoire. J'avais parié, il y a plus de 2 mois, sur une victoire finale des boks contre les All Blacks. Ce fut l'Angleterre en finale, mais le champion est bel et bien "Amabhokobhoko".

Il faut maintenant conforter cette equipe et la mettre en position de défendre son titre en Nouvelle-Zelande dans quatre ans, comme les Anglais ont essayé de défendre leur titre cette année.

NKOSI SIKELEL'iAFRIKA.

SHOSHOLOZA...

jeudi, octobre 18, 2007

AFCON 2008 - CAN 2008

Barcelona have asked Cameroon striker Samuel Eto'o and Ivory Coast midfielder Yaya Toure not to represent their countries at the African Cup of Nations (AFCON) in Ghana in January.

"I don't know if they will go and I hope they don't but we cannot force them," Barca sports director Txiki Begiristain told Spanish radio station RAC1.
"For Eto'o it would be a strange year. Injury, recovery and then international duty. I asked Toure before we signed him. Ronaldinho did not go to the Copa America (in June) and it was a brave decision. But I understand how important they are for their countries."

Eto'o, the three-time African Player of the Year, has been sidelined since the beginning of September after undergoing surgery on a thigh injury. Toure, who is also out with a thigh injury, joined Barca from Monaco in June. Ronaldinho, along with AC Milan's Kaka, both asked to be left out of Dunga's Brazil squad for the Copa America in Venezuela in June, saying they needed a break from playing. The CAN (Coupe d'Afrique des Nations) runs from January 20 to February 10.

dimanche, octobre 07, 2007

RDC: La Rdc exemptée du 1er tour pour la CAN féminin 2008


Six pays, dont la République Democratique du Congo, entreront en lice directement au second et dernier tour. La Confédération africaine de football (CAF) a rendu public la liste des 22 nations retenues pour les éliminatoires de la 6ème Coupe d’Afrique des Nations, Guinée Equatoriale 2008. Six pays, dont la RDC, entreront en lice directement au second et dernier tour, indiquent les informations livrées par la CAF.

16 équipes vont s’affronter au premier tour entre le 30 Novembre, 01, 02 Décembre 2007 pour le match aller et le retour est programme entre le 14, 15, 16 Décembre 2007.

Il y a lieu de noter que lors de la dernière édition, la RDC n’est pas arrivée en finale éliminée par le Ghana au Stade de Martyrs de Kinshasa. Pour l’heure, la Fecofa (Fédération Congolaise de Football) ne s’est pas encore penchée sur 4 la préparation de cette compétition. Pourtant, plus d’une fois on n’a déploré le manque de sérieux dans la sélection des joueuses et dans la désignation du staff technique. Cette fois-ci, on croit savoir que la Fecofa désignera un entraîneur qui connaît bien le football féminin et entraîne au moins une de ces équipes au championnat local.

Voici le calendrier de ces éliminatoires :

1. Tunisie - Egypte
2. Maroc - Algerie
3. Burundi - Congo
4. Zimbabwe - Zambie
5. Erythrée - Tanzanie
6. Botswana - Namibie
7. Guinée - Bénin
8. Senegal - Côte d’Ivoire

Sont exempts du premier tour: Afrique du Sud, Cameroun, Ghana, Mali, Nigeria, RD Congo. Pour le second tour, le vainqueur du match Burundi- Congo Brazzaville, sera oppose à la RDC.

Dates

Aller : 22, 23 et 24 février 2008 ; Retour : 07, 08 et 09 mars 2008.

South Africa: ACT 'Warriors' lose Telkom battle


Ajax Cape Town lost out 0-1 in a Telkom Knockout battle with Free State Stars at Athlone Stadium on Thursday night.


The hosts Ajax were unlucky to concede from what looked like a miscommunication at the back, as Stars player Dhladhla latched onto a rebound and slotted the ball past Ajax's goalkeeper Hans Vonk.

Ajax escaped a few anxious moments in the first half, but returned a more determined side after the break.

The 'Urban Warriors' were always a threat in the air but defender Edurdo Fereira was unlucky not get a touch to team-mate Russell Mwafulirwa's put down in the 52nd minute.

Stars' goal came in the 57th minute and the visitors threatened to stretch their lead further but failed to beat the reliable Vonk in the Ajax goals.

An anxious moment followed as Ajax striker Mwafulirwa miss-kicked in the box after Nathan Paulse beat Stars 'keeper Kennedy Mwene to the ball in the 66th minute, but the self-same Paulse slipt after collecting Mwafulirwa's unfortunate strike.

Ajax continued to serge forward but Mwafulrwa failed to keep his shot down in the 68th minute, while Bryce 'Scooter' Moon was unable to pick up the scraps after 'keeper Mwene failed to collect the ball yet again.

In stoppage-time after doing all the hard work to compose himself in the box, Moon hit the cross-bar with a fierce shot and Stars escaped with the win and join Mamelodi Sundowns, Kaizer Chiefs, Bloemfontein Celtic, Benoni Premier United in the quarter-finals of the Telkom KO.

Anyway, I still support Ajax Cape Town. Hope for the best in the PSL.

jeudi, septembre 20, 2007

Barca: Impressive win !


Thierry Henry scored his first official goal for FC Barcelona as the Blaugrana defeated Lyon in a game that saw Giovani Dos Santos and Bojan Krkic make their Champions League debuts.Frank Rijkaard's side were keen to start their European campaign with three points and they cruised to victory after François Clerc scored an own goal before Leo Messi and Henry completed the tally.

Defensive outlook

Olympique Lyonnais set themselves out to defend in numbers as they maintained a back four while employing a five-man midfield and leaving one player forward to plough a lone furrow against the Barça rearguard. The home team took their time accustomising themselves to the negative tactics of their opponents, but soon began to show flashes of fast flowing football that was eventually to lead to victory. Éric Abidal proved down the left flank and he provided the first two chances with crosses that caused the visitors problems.

Impressive Messi

Barça maintained control in what was not an easy game to keep playing at a high rythm, but Leo Messi son began to come into his own and it was he who created the opening goal of the evening. The Argentinian picked up a short corner on the left and after exchanging passes with Ronaldinho edged his way into the area only to see his low cross turned into his own net by Clerk.

Making up

At 1-0 it was expected that Lyon may come out of their shells and they did edge forward on the odd sortie, but they had to be watchful at the back. Clerc went some way to making up for his own goal when Ronaldinho floated the ball over the Lyon back line where Messi pulled it down before turning back inside Mathieu Bodmer and looked set to just roll the ball home only for Clerc to race back and fling his body in the way. Henry strived to create an opening at one end while Rafa Márquez and Gabi Milito continued to look comfortable as they contained the visitors' attack with some ease at the other.

Slowing down

After the break, the Blaugrana were able to find slightly more space and that created the opening chance of the second period. Ronaldinho and Xavi combined to feed Messi down the right, but the youngster lifted his effort high over the bar. Barça were winning the ball back quickly each time that they lost it and that continued to make life difficult for Lyon. Things did slow down around the hour mark and Alain Perrin looked to change things around by introducing Milan Baros, but the Czech Republic striker did not have much joy against the Barça defence either. Ronaldinho was then replaced by Andrés Iniesta and the midfielder certainly lifted the home team.

Final thrust

Henry went close in the 68th minute as he warmed Vercoutre's gloves and Deco then tested the keeper with a drive soon after. As Lyon showed no sign of breaking out and changing their style, FC Barcelona continued to plug away and finally earned their reward with nine minutes left on the clock. Iniesta picked up Deco's pass before finding Messi unmarked who in turn rolled the ball into the far corner of the net from the edge of the area nine minutes from time. Dos Santos was then introduced and Krkic followed him onto the pitch as the young duo tasted Champions League football for the first time. The Mexican enjoyed the experience as he authored the third and final goal of the night as he ran onto Gianluca Zambrotta's pass down the line and as Anthony Réveillère slipped the young Mexican moved into the area before cutting back to give himself a clear shot at goal. Vercoutre parried the shot but Henry was quickest to the rebound and stroked in his first official goal for the Blaugrana. The delight and relief was evident as the Frenchman wheeled away.

dimanche, septembre 16, 2007

Championnat anglais

Après deux semaines de coupure internationale, on retrouve la Premier League là où on l'avait laissée. Manchester United, auteur face à Sunderland (1-0) de sa deuxième victoire consécutive, avait refilé le bourdon à Chelsea qui venait de concéder sa première défaite de la saison à Aston Villa (0-2), de perdre Drogba sur blessure et de céder le leadership à Liverpool et Arsenal.

Après un départ raté, Manchester United s'est remis dans le sens de la marche. Samedi, les hommes d'Alex Ferguson espèrent bien poursuivre leur remontée au classement à Everton, terrain miné pour les uns, jardin favori pour les Mancuniens qui ont remporté douze de leurs quinze derniers matches à Goodison Park, dont un 4-2 mémorable la saison passée après avoir été menés 2-0. Une rencontre qui avait propulsé MU vers le titre... Cette année, le déplacement chez le voisin de Liverpool marquera surtout le retour de Cristiano Ronaldo, qui a purgé ses trois matches de suspension, tandis que Wayne Rooney pourrait apparaître pour la première fois dans le groupe depuis sa blessure au pied.

L'autre équipe de Liverpool, les Reds, avance, elle, sereinement en tête du championnat. Meilleure défense (2 buts, à égalité avec les jumeaux mancuniens) et meilleure attaque (11 réalisations), la formation de Rafael Benitez, qui récupère Gerrard et Carragher, réalise le meilleur départ du club depuis la saison 1994-1995. Un rythme que sa formation entend bien poursuivre à Portsmouth (13). Une rencontre qui, l'an passé, avait fait beaucoup parler outre-Manche. Distancé dans la course au titre, Liverpool avait présenté une équipe bis à Fratton Park, à quatre jours de son quart de finale retour de Ligue des Champions face à Chelsea, ce qui avait provoqué l'ire de certains clubs, accusant Benitez de fausser le championnat. Son équipe sait qu'elle a aujourd'hui une belle carte à jouer dans le sud de l'Angleterre pendant que son rival du moment, Arsenal, aura fort à faire à Tottenham. Un 141e derby au fort accent français avec Kaboul, Chimbonda et Malbranque du côté des Spurs, Clichy, Sagna, Flamini, Diaby et Diarra chez les Gunners. Mais un derby sous pression pour le manager de Tottenham, Martin Jol, qui ne compte toujours qu'une maigre victoire en cinq rencontres.

Chevtchenko, 4 mois et demi après

A Chelsea, en revanche, tout avait bien commencé. Mais la première défaite de la saison, aussi irréfutable que soudaine, à Aston Villa (0-2) a plongé le club dans un mauvais feuilleton : retour des douleurs au genou droit pour Drogba, forfait ce week-end, débuts de l'«affaire Ballack» et nouvelles fritures sur la ligne entre Chevtchenko et Mourinho. Selon le Times, les relations entre les deux hommes se sont sérieusement détériorées dernièrement, le joueur n'ayant toujours pas digéré sa mise à l'écart lors de la demi-finale retour de Ligue des Champions, la saison passée à Liverpool. Interrogé après Ukraine-Italie (1-2), mercredi, l'ancien attaquant du Milan AC avait fait part de sa frustration : «Je ne comprends pas pourquoi on ne me fait pas jouer. Mais je reste calme. J'attends ma chance». Sa chance, Chevtchenko devrait l'avoir face aux Blackburn Rovers puisque celui qui n'a plus été aligné sous le maillot de Chelsea depuis le 28 avril dernier (2-2 contre Bolton) effectue son retour dans le groupe.

lundi, septembre 10, 2007

une parenthèse Rugby


Brian Habana s'arrache pour planter l'un de ses quatre essais

LES BOKS SONT AU POINT

L'Afrique du Sud a réussi son entrée dans la Coupe du monde en battant les Samoa par une marge très confortable (59-7). Habana (quatre essais) et Montgomery (29 points) furent les grands bonhommes d'un match agréable, électrifié par le sens du spectable des joueurs du Pacifique.

Les Boks dans leur jardin

Le Parc des Princes n'avait pas accueilli du match international de rugby depuis la défaite historique de la France contre l'Afrique du Sud (10-52 en 1997). Les Boks sont ici chez eux. Ils ont effectué, dimanche, une entrée convaincante dans la Coupe du monde, en battant les Samoa par un écart traditionnel entre les deux nations (59-7, huit essais à un). Ils ont d'abord usé l'équipe des frères Tuilagi, avant de la faire exploser et d'offrir un jeu un peu plus dynamique. La Nouvelle-Zélande et l'Australie ne seront pas les seuls à passer la semaine sans se prendre la tête. Il appartient désormais à l'Angleterre, qui sera opposée aux Boks vendredi au Stade de France, de prouver que le fossé avec les Tri-Nations n'est pas aussi large qu'il en a l'air. Dans le groupe A, l'équipe de Jake White a déjà un point d'avance grâce au bonus offensif. Disciplinée, au point sur tous les fondamentaux, l'Afrique du Sud sait qu'elle peut s'appuyer sur de vrais talents derrière. Brian Habana a inscrit quatre essais, dont deux qu'il doit seulement à lui-même. Percy Montgomery fut un bon métronome (trois transformations ratées, mais 29 points quand même) et François Steyn a effectué une rentrée intéressante. Il y a bien cette charnière un peu neutre, mais la perfection attendra. Les Boks ont eu le mérite de gérer comme des maîtres les variations de tempo de la partie, entre l'intensité maximale du début et le jeu plus débridé permis, en fin de match, par l'absence de jus des Samoans.

Une entrée en matière musclée

Le match avait débuté depuis seulement dix minutes, que l'arbitre néo-zélandais Paul Honiss jugeait utile de convoquer les deux capitaines pour les sommer d'en finir avec les combats de rue qui accompagnaient tous les regroupements. Malgré un début de match plein de bonnes intentions côté sud-africain, la rencontre se déroulait bien selon les canons attendus, c'est-à-dire avec une grande âpreté au combat et de nombreux arrêts de jeu. Les Boks, souverains en mêlée et opportunistes en touche, peinaient d'abord à enchaîner les passes, autant que les temps de jeu, toujours repris par une défense samoane décomplexée. Dans cette lutte, les joueurs du Pacifique eurent d'abord du mal à se discipliner, concédant trois pénalités converties par Montgomery (9-0, 15e). Elle s'équilibra quand les Bleus - encouragés comme tels par le Parc des princes, comme au temps du Grand Chelem de 1977 - marquèrent le premier essai du match sur une splendide prise d'intervalle du centre Gavin Williams, transformé par lui-même (18e, 9-7). Les Samoa nous rejouaient le coup du match contre l'Angleterre en 2003 (22-35). A l'image du petit arrière Lemi, défiant sans complexe les piliers Sud-af au plaquage comme au bourre-pif, ils semblaient tenir tête à l'un des grands favoris du tournoi.

L'affaire ne dura qu'un quart d'heure. C'est d'abord Habana, sur son seul talent, qui planta l'essai de l'envol après une série de crochets (33e, 14-7). Mais le vrai tournant eut lieu juste avant la mi-temps, sur un essai de Montgomery accordé après une interminable série de mêlées, alors que le chrono affichait presque 42 minutes (21-7 à la pause), puis au retour des vestiaires, lors d'un essai refusé aux Samoa pour hors-jeu. Dès lors, le réservoir vidé, les joueurs du Pacifique ne purent rien faire pour contenir la vitesse imprimée par les Sud-Africains après chaque libération, avec une remarquable troisième ligne où Burger fit encore un sacré boulot. Montgomery, au moment où il se saisit du ballon pour son deuxième essai, n'avait par exemple plus qu'à conclure un trois contre zéro... Le moment historique qui vit Brian Lima entrer en jeu pour disputer sa cinquième Coupe du monde (record absolu) fut très furtif. L'ancien joueur du Stade français est sorti KO. En voyant la touchante haie d'honneur que les deux équipes ont senti utile de se faire juste après le coup de sifflet final, il n'a pas dû regretter longtemps d'avoir consacré sa vie au rugby.

jeudi, août 30, 2007

Comme prévu, le FCZ échoue à la porte de la lucrative Champions League

L'ancien milieu du FC Basel 1893 Matías Delgado s'est rappelé au bon souvenir du FC Zürich et a tenu promesse en marquant deux fois pour assurer au Besiktas JK de participer à la phase de groupes de l'UEFA Champions League grâce à un succès 3-1 sur l'ensemble des deux matches contre le champion de Suisse.

Retour gagnant
Delgado a passé deux ans et demi à Bâle avant de rejoindre Besiktas à l'été 2006. Il n'a pas pu empêcher Zurich de remporter le titre 2005/06 lors de l'ultime journée. Une déception que le joueur de 24 ans n'a pas oublié, lui qui avait promis de marquer au stade Inönü. Il a même fait mieux puisqu'il a réussi un doublé. Après une première période dominée par les locaux, Delgado ouvrait finalement le score onze minutes après le repos et ajoutait un second but peu après pour assurer la qualification de Besiktas.

Besiktas dangereux
Delgado porte son total à trois buts contre les Suisses car il avait déjà marqué lors du match aller (1-1) en Suisse. C'est pourtant le buteur Bobo qui se mettait le premier en évidence à Istanbul. L'attaquant brésilien se créait une première occasion à la demi-heure de jeu en reprenant un superbe centre de Serdar Özkan, mais sa tête passait à côté. Il manquait encore le coche sur un centre de Ricardinho, et Zurich croyait à la qualification, notamment sur une action où Hakan Arikan devait s'interposer devant Eudi Silva de Souza avant la pause.

Deux but coup sur coup
Besiktas reprenait les devants à la reprise et, à la 56e minute, Delgado reprenait de la tête un centre de Serdar Özkan pour ouvrir le score. Le 2-0 survenait peu après car l'attaquant argentin régnait à nouveau dans les airs, cette fois sur un service d'Ibrahim Üzülmez, et la cause était entendue. Rafael Araujo était proche de sauver l'honneur mais Hakan Arikan veillait au grain. C'est donc Besiktas qui assistera au tirage au sort de jeudi.

L'EURO 2008
A une année de l'Euro 2008 en Suisse, les équipes suisses ne volent pas haut parmi l'élite européenne. Depuis 4 ans, aucune équipe suisse n'a participé à la ligue des champions. De plus, leurs parcours dans la coupe UEFA n'est pas glorieux non plus. Les joueurs de la Nati ne sont pas tous titulaires dans leurs clubs en Europe. Cela ne présage rien de bon pour le championnat d'Europe en 2008.

A voir...

dimanche, août 12, 2007

1ere journée - ENGLAND - Liverpool réussit son entrée

«Cette année, le Championnat sera très serré», confiait récemment Franck Queudrue, arrivé cet été à Birmingham en provenance de Fulham. A en juger par la performance de Liverpool sur le terrain d'Aston Villa (2-1), difficile de lui donner tort. A l'instar des Toulousains, qui ont battu Lyon (1-0), les Reds ont idéalement préparé leur déplacement au Stadium, mercredi. Ce premier voyage à Birmingham n'a pas été une partie de plaisir pour autant et la délivrance n'est intervenue que lors des ultimes minutes. Et comme d'habitude, c'est le capitaine Steven Gerrard qui a fait pencher la balance en faveur des siens sur un magnifique coup franc (86e). Ce but victorieux est arrivé deux minutes après l'égalisation de Gardner pour Villa. A la demi-heure de jeu, les Reds avaient profité d'un but contre son camp de Laursen.

Sunderland, promu en Premiership cette saison, a tenu la dragée haute à Tottenham (1-0). Dans une rencontre assez équilibrée où les deux formations ont eu tour à tour l'occasion d'ouvrir la marque, notamment en première période, ce sont finalement les joueurs de Roy Keane qui se sont imposés grâce à un but dans les arrêts de jeu de Michael Chopra (90+3), entré à 20 minutes de la fin. Une victoire méritée pour les Black Cats, qui n'ont jamais vraiment tremblé face à une équipe qui vise pourtant les premières places en Championnat et qui a investi 58 millions d'euros sur le marché des transferts cet été pour se donner les moyens de ses ambitions. Le score aurait même pu être plus lourd sans la vigilance du portier des Spurs, Paul Robinson, décisif face à Murphy (37e) puis face à Etuhu (89e). Les hommes de Martin Jol, qui courent après un titre de champion depuis 1961, devront encore travailler s'ils veulent éviter de jouer les seconds rôles en fin de saison.

Déception également pour le Bolton de Nicolas Anelka, sèchement battu à domicile par Newcastle (3-1). Les Wanderers, trop fébriles en première période, ont été cueillis à froid dès la dixième minute sur une frappe lointaine du Français, Charles N'Zogbia (en photo), avant de sombrer totalement dix minutes plus tard sur deux exploits individuels d'Obafemi Martins (21e et 25e). La réduction du score de Nicolas Anelka (50e) n'a rien changé. Ce succès permet au Magpies de s'installer provisoirement en tête du classement devant Manchester City, vainqueur à West Ham (2-0). Très active sur le marché des transferts avec huit arrivées depuis l'ouverture du marché estival, l'équipe dirigée par Sven-Göran Eriksson s'en est remise à ses deux recrues, Bianchi (18e) et Geovanni (88e), pour assurer ses trois premiers points de la saison. Les 60 millions d'euros investis durant l'intersaison pourraient, à terme, lui permettre de jouer les troubles-fêtes. Egalement très attendu, le Portsmouth de John Utaka, buteur, tout comme l'ancien Auxerrois, Benjani, a été tenu en échec sur la pelouse de Derby County (2-2). Antoine Siberski n'a, lui, pas pu empêcher la défaite de Wigan à Everton (1-2). Contre-performance aussi pour Middlesbrough, battu sur sa pelouse par les Blackburn Rovers (1-2).

Les poids lourds en lice

Arsenal, sans Thierry Henry, a fait taire les critiques et les doutes face à Fulham (2 à 1). Chelsea, victime d'une véritable hécatombe durant la préparation (Drogba, Terry, Robben, Shevchenko, Ballack entre autres), à Stamford Bridge a battu le promu Birmingham (3 à 2). Quant au champion en titre, Manchester United, il fait match nul face à Reading (0 à 0). Les joueurs d'Alex Ferguson, déjà vainqueurs du Community Shield et renforcés par l'arrivée de Carlos Tevez, sont pourtant bien décidés à conserver leur bien.

mercredi, août 01, 2007

Schalke 04 give up Appiah chase


Schalke Null Fier (04) have ended their pursuit of Stephen Appiah after failing to meet Fenerbahce's demands.

The 26-year-old Ghana midfielder is now to set to stay with Turkish champions.

Fenerbahce have made no secret of their desire to hang on to their most prized asset who is contracted until 2010.

Furious club officials even reported Schalke to Fifa last week after accusing the Bundesliga side of making an illegal approach for their player.

On Tuesday, Fenerbahce changed their tune and said they would consider Appiah's transfer but only if Germany striker Kevin Kuranyi moved in the opposite direction.

But Schalke are not keen on letting Kuranyi leave and have decided to end their chase for the Black Stars captain.

"We will not be reopening the Appiah case," Andreas Muller, Schalke team manager said in a press statement.

"As a result of the Fenerbahce executive committee's demands, Schalke have decided to terminate the whole Appiah affair.

"There is no way we will be giving up Kuranyi. He is a crucial player in our squad and one of the best players in the team.

"We understand that this is a decision from Fenerbahce, one that we must accept."

Appiah is the subject of interest from several European clubs including English Premiership sides Arsenal and West Ham.

dimanche, juin 24, 2007

Henry au Barca


Thierry Henry a decidé de quitter les Gunners d'Arsenal (club du Nord de Londres, UK) pour le Barca (club mythique de la capitale catalane).

Au Barca, il va retrouver Lilian Thuram (un autre Antillais de l'Equipe de France). Pour Lilian Thuram, Henry «est l'un des meilleurs attaquants au monde» et son arrivée en Catalogne «est une très grande nouvelle pour le club». Dans un entretien au Parisien, dimanche, le défenseur français dit n'avoir «aucun doute» sur l'adaptation du futur ex-Gunner en raison de sa «culture du beau jeu, en mouvement, qu'Arsenal développait aussi à merveille». Le défenseur blaunagra savoure à l'avance l'association aux avant-postes du buteur des Bleus et du Camerounais Samuel Eto'o. «Ils vont se trouver parfaitement parce que leur jeu correspond. Ce sont deux joueurs très intelligents qui s'apprécient. Et puis, il y aura Ronaldinho et Messi sur les côtés pour leur donner de bons ballons. Jamais, se réjouit-il, une équipe n'aura présenté un tel visage offensif».

Le départ d'Henry d'Arsenal pourrait provoquer le retour d'Anelka chez les Gunners. à suivre...

lundi, juin 04, 2007

Le vice Champion du monde est dans le coup

L'équipe de France a maîtrisé tous les paramètres de son match-piège contre l'Ukraine, samedi (2-0). La France a pris 6 points face à ses adversaires directs au Stade de France.

PHYSIQUEMENT DANS LE COUP
Tout avait été dit sur ce mois de juin habituellement réservé aux vacances et le risque d'épuisement qu'il faisait courir à l'équipe de France une année post-Coupe du monde. Rien ne s'est passé. «Je ne sais pas si on était en forme, mais on était mieux que l'adversaire, constate Raymond Domenech. On les a usés plus qu'ils ne nous ont usés.» Les ''Anglais'', qui ont terminé leur saison il y a deux ou trois semaines, selon les cas, ont bien pris quelques jours de vacances, malgré le désaccord du sélectionneur. Par conscience professionnelle, ils n'ont pas totalement coupé. «Mais même si on s'entraîne individuellement, ça ne vaut pas un entraînement en groupe, et même une séance collective ne remplace pas le rythme des matches», constate Anelka. Makelele dit avoir assuré l'essentiel grâce à son «hygiène de vie». Les autres ne doutaient pas de grand chose. «Nous étions dans le rythme car nous ne nous sommes pas arrêtés, constate Ribéry pour tous les joueurs de L1. C'est comme si on avait continué à jouer en Championnat». Les Lyonnais avaient même travaillé avec Robert Duverne pendant plus d'un mois, lequel a ensuite pris en main les Bleus en début de semaine dernière. «Je maintiens que ce n'était pas le bon moment, dit Domenech. Mais je maintiens qu'on a fait ce qu'il fallait.»
2. UN ADVERSAIRE DÉCORTIQUÉ
L'Ukraine n'avait pas de secret pour les Bleus. «On savait qu'ils allaient jouer derrière et faire du marquage individuel, déclarait Gallas à chaud. On ne s'est pas découragé à la mi-temps et ils ont fini par se relâcher.» C'est dans cette connaissance scientifique du jeu ukrainien que les Bleus ont puisé la patience et la lucidité dont ils avaient besoin. Anelka, aussi isolé qu'en Lituanie en mars dernier (1-0), s'était préparé à gérer la pénurie. «Par rapport à l'expérience de l'Ukraine que j'ai depuis 1999, je savais à peu près comment ça allait se passer.»
3. UN PLAN DE JEU RESPECTÉ
Comme si la défaite en Ecosse avait porté ses fruits (0-1)... Ce jour-là, à Glasgow, lors de la seule défaite des Bleus dans cette campagne de qualification, les Français s'étaient convaincus de leur supériorité en monopolisant le ballon sans déséquilibrer l'adversaire. Samedi, l'équipe a atteint son mariage idéal entre «qualité dans le mouvement, la circulation» (Domenech) et la solidité qui fait sa force depuis la Coupe du monde. C'est en variant ses effets après le repos qu'elle a plié le sort du match. «Il manquait des changements de rythme pour faire la différence, détaille le sélectionneur. Il fallait aussi varier jeu court et jeu long. Nous n'avions fait que quelques renversements de jeu, sans trouver les attaquants dans la profondeur et dans l'axe», là d'où sont venus les deux buts. «On a été cohérents. C'est surtout la balle qui allait vite, se satisfait Malouda. On a évité de porter le ballon et on a fait la différence en étant patients.» Le plan passait aussi par des permutations entre Ribéry et le Guyanais sur les côtés, avec passages dans l'axe pour l'un et l'autre. «Il fallait un maximum de mouvements pour perturber leur marquage individuel, et aussi pour soulager Nico (Anelka) de toute la charge défensive qu'il avait», explique Malouda.
4. UN SOUTIEN DU PUBLIC EXCEPTIONNEL
Plus de 80 000 personnes, presque autant de drapeaux... Même si le public du Stade de France est resté globalement réactif, les joueurs ont été sensibles à l'ambiance, généralement plus mitigée voire hostile à Saint-Denis. «Quand vous arrivez sur un terrain et que vous voyez 80 000 personnes avec des drapeaux, vous vous sentez plus costaud, l'envie est décuplée, assure Gallas. Il n'y a pas eu de sifflet. J'espère que ça continuera comme ça. Avant, on se faisait siffler sur chaque ballon perdu... Le public est le douzième homme.» Ce précédent pourrait faire date.
5. LE PLAN DE ROUTE EST EXIGEANT
Pour la Coupe du monde 2006, les Bleus ne s'étaient pas trop inquiétés d'être à la traîne car ils terminaient à domicile contre Chypre. Cette fois, ils savent qu'ils doivent impérativement aborder la dernière ligne droite avec un peu d'avance car ils terminent par un déplacement en Ukraine le 21 novembre. Raymond Domenech fait remarquer que la situation idéale serait d'avoir 6 points d'avance sur les rivaux après le onzième match, contre la Lituanie à Nantes, le 17 octobre. «Pendant Ukraine-France, il y aura Italie-Féroé en même temps», fait-il aussi observer... Pour l'instant, l'avance sur l'Italie est de 2 points, celle sur l'Ukraine et l'Ecossse n'est que de 3 unités. Une sorte de froide détermination transpire dans tous les propos des Français depuis plusieurs jours, qui semblent lucides sur le prix à payer pour voir l'Euro 2008. «On ne pense pas du tout aux vacances, assure Gallas, qui a surmonté la douleur contre l'Ukraine. Pour que les vacances soient belles, il faut gagner mercredi contre la Géorgie. Je veux jouer l'Euro 2008. J'ai pensé au groupe et j'ai pris sur moi.»

Debut de la Renaissance

La Nati (équipe nationale suisse) est en train de renaître. Le valeureux match nul obtenu samedi passé à Bâle contre la redoutable équipe argentine montre des bons signes de renouveau pour le football suisse.

Apparement la mise sous tutelle de Kobi Kuhn a apporté ses fruits. Le vieux Zurichois a accepté d’établir la concurrence parmi les joueurs (aucun joueur n’est assuré d’être titulaire). Ceux qui étaient exclus du groupe sont les heureux bienvenus dans le bercail.

Esperons maintenant que cette équipe sera constante dans sa progression.

vendredi, mai 25, 2007

FCZ - 11e titre national

Le FC Zurich est champion suisse pour la 11e fois de son histoire. Il égale son concurrent immédiat le FC Bâle au nombre de titres.

Le suspens a été tenu jusqu'à la dernière minute comme l'année passée.
En 2006, Zurich avait raflé le titre à Bâle grâce à un but dans les arrêts de jeu. Cette année 2007, Zurich a maintenu son avance d'un point dans le classement grâce à sa victoire 2 à 0 face aux rivaux de Grasshoppers.

La bande de Lucien Favre peut maintenant préparer la prochaine saison de la coupe des champions. En esperant qu'elle se qualifiera pour la phase de poules.

Une chose est sûre, l'année prochaine la Suisse Romande aura 2 représentants: le FC Sion et Neuchâtel Xamax. Souhaitons aux Lausanne Sports et Servette de Genève de rejoindre l'élite assez rapidement.

jeudi, mai 24, 2007

Milan - 7e ciel


AC Milan beat Liverpool 2-1 with two goals from Filippo Inzaghi to win the European Cup for the seventh time on Wednesday and avenge their defeat on penalties by the English team in the final two years ago.
Liverpool, who looked down and out, pulled a goal back in the 89th minute with a Dirk Kuyt header but could not repeat their famous Istanbul fight-back when they recovered from 3-0 down at halftime to force a 3-3 draw and win the trophy.
Milan coach Carlo Ancelotti, who has now guided Milan to two victories as coach after winning the European Cup with them as a player, said: "This is the greatest victory we have ever had.
"Few people thought we could do it and I think it is an extraordinary thing. It has been described as a Utopia and it shows that sometimes Utopia can become real."
The Italians took the lead against the run of play just before halftime when Inzaghi got in the way of Andrea Pirlo's free kick to divert the ball past helpless keeper Pepe Reina.
He added the second in the 82nd minute when he rounded Reina and squeezed the ball home under his body after being played in by Kaka. It was his 42nd goal in 69 Champions League appearances.
Dutchman Kuyt gave Liverpool some hope just before the end with a powerful header into the net after Daniel Agger had headed the ball across the area from a corner.
Liverpool coach Rafael Benitez said: "We almost controlled everything, we were nearly there. We had chances in the first half but you need to take your chances and score goals.
"We controlled the game for most of the first half and it was a bad goal to concede -- a deflection at the end of the half. We were doing well until then."
Still beautifulDespite Liverpool having had more of the ball and more goal attempts, it was Milan's fans celebrating loudest after seeing their 38-year-old captain Paulo Maldini lift the trophy.
It was the defender's record-equalling eighth final and the fifth European Cup success of his career.
"The fifth is still beautiful," Maldini told reporters. "It would be a great way end to my career but I want to play next season and then it would be very beautiful to reach this point again next year and win it again.
"It was a very tough match but we won it and after what happened two years ago this is what matters."
Liverpool settled down first on a humid night in the Greek capital and played the better football for long periods in the Olympic Stadium but despite their domination they could not find the target until just before the end.
Their disappointed captain Steven Gerrard told Sky television: "It's difficult to take but that's football for you. You've got to take it on the chin and move on and try and pick yourself up but it's heartbreaking."
Milan, desperate to avenge what happened two years ago, needed a stroke of luck to break the deadlock.
That gave them greater stability and confidence for the second half and with Maldini belying his years with an impressive performance and Alessandro Nesta also playing well at the back they rarely looked seriously troubled.
Their victory not only helps ease the pain of Istanbul but it also completes an astonishing comeback for the club punished for their role in last year's Italian match-fixing scandal.
They were only allowed to compete in the Champions League after UEFA reluctantly decided they had no legal grounds to ban them.
Controlled attemptLiverpool's Jermaine Pennant, John-Arne Riise and Xabi Alonso, the best midfielder in the match, all had good chances to score in the first half and Gerrard should have equalised after 63 minutes.
He seized on a wayward ball by Gennaro Gattuso and powered past some desperate defending but then hit his shot too close to Dida without enough power and the Brazilian saved comfortably down low to his left.
But Gerrard, playing in a less familiar role alongside Kuyt in attack, did not threaten again and Liverpool's raids looked increasingly blunt until striker Peter Crouch came off the bench with 12 minutes to play.
As a result Milan were content to soak up the pressure and grew in confidence as the game moved into its closing stages.
The Merseysiders did finally breach the Milan defence late in the game but the Italians held on for a narrow victory and in the end it was 33-year-old striker Inzaghi who was their hero.
He justified Ancelotti's faith in picking him ahead of Alberto Gilardino and his personal joy was obvious, especially after injury had forced him out of the final two years ago.

mercredi, mai 23, 2007

Avant le match de l'année

Liverpool et l'AC Milan disputent ce soir la finale de la Ligue des champions à Athènes, deux ans après leur légendaire affrontement d'Istanbul (3-3, 3-2 t.a.b.). Le niveau de ces deux grands spécialistes de la C1 s'est resserré en deux saisons. Jamais une finale n'a semblé si imprévisible.


Il est tentant d'associer au hasard, à une pure irrationalité, le scénario de la finale de la Ligue des champions 2005 entre Liverpool et l'AC Milan (3-3, 3-2 t.a.b.). La présence des deux mêmes clubs à ce niveau, ce soir, n'en est pas un. Les deux clubs qui ont colorié Athènes de rouge et de noir ont la C1 dans leur patrimoine génétique. Milan, trois fois finaliste en cinq ans, premier poursuivant du Real Madrid au nombre de victoires (6 contre 9), a saisi le printemps européen pour effacer les procès en gériatrie qui furent à nouveau instruits à son égard cette saison. Le Bayern (2-2, 2-0) et Manchester (2-3, 3-0) s'en souviennent encore. Liverpool de son côté, toujours à la traîne en Premiership, est pourtant le dernier club à porter haut le drapeau anglais après des demi-finales à 75% made in England. Seul l'AC Milan, qu'il peut rejoindre ce soir au nombre de trophées, pouvait contester à l'Angleterre son besoin de suprématie, même si ce n'était guère imaginable en août dernier. Condamné en Italie pour l'implication de son ancien directeur, Leonardo Meani, dans des coups de fil aux arbitres, l'AC Milan ne dut qu'à un vide juridique de ne pas avoir été suspendu de Ligue des champions. Son admission a été retenue «sans la moindre conviction» par l'UEFA. Le nouveau président Michel Platini, s'il remet la Coupe à un vainqueur italien, devra faire comme si.

Mêmes causes, mêmes effets ?
A l'heure des retrouvailles, il est frappant de constater que les deux équipes ont peu bougé depuis 2005. Leur valeur sur le papier s'est resserrée. Il n'y a plus de favori. Milan, qui l'était en 2005, n'en est pas fâché. Sept des onze titulaires rossoneri l'étaient déjà à Istanbul. Tous les joueurs-clef d'alors sont toujours là (Maldini, Nesta, Pirlo, Seedorf, Kakà). Sauf un, Chevtchenko. Sans lui, Milan est amputé d'un joueur de classe mondiale et d'un buteur incontestable. Si Kakà continue à faire le boulot ce soir - 10 buts en 14 matches - il prendra sans doute le Ballon d'Or alors lâché par l'Ukrainien. A Liverpool, neuf des titulaires d'Istanbul sont à Athènes. Une moitié seulement (Finnan, Carragher, Gerrard, Riise, Xabi Alonso) peut espérer débuter. Entre-temps, Benitez a recruté un joueur-clef sur chaque ligne. Une démonstration comme celle réussie à Eindhoven (3-0) et la manière avec laquelle Barcelone a été battu chez lui (1-2) n'étaient pas possibles en 2005. Reina, Kuyt, Mascherano ou Agger, entre autres, incarnent ce work in progress.L'identité de jeu des deux équipes n'a pas varié non plus. Celle de Milan est éternelle. Celle de Liverpool fait toujours grincer les anciens des années 70-80, mais plus encore ses adversaires. Cela n'implique pas que le scénario de 2005 trouve une continuité magique à Athènes. Le match d'Istanbul s'annonçait bridé, entre deux grandes cultures tactiques. Il a finalement offert un condensé, ou plutôt une succession, de ce que Milan peut offrir de mieux quand il développe tous ses talents, et de ce que Liverpool peut déplacer comme montagne avec son caractère en acier. Les mêmes causes peuvent produire les mêmes effets. Mais un 0-0 peut aussi couronner 120 minutes de sommet tactique - au passage, toutes les finales des années impaires depuis 2001 se jouent aux tirs au but. Le précédent de 2005 avait été un vaccin contre la voyance appliquée au football. Juste avant Istanbul, les suiveurs s'étaient saisis de la leçon de Mourinho : Liverpool n'avait aucune chance de revenir s'il encaissait le premier but. Le seul pari à prendre, c'est peut-être qu'il n'y aura 3-0 pour personne, ce soir, ni à la mi-temps ni plus tard. Cela n'exclut pas un grand spectacle. Milan en donna un magnifique en demi-finale retour et Liverpool n'a su faire que ça lors de ses deux dernières finales. En 2001, les Reds avaient gagné une Coupe de l'UEFA oubliée, contre Alavès. Le dernier match avait été beau à en pleurer : 5-4 après prolongation. Spectacle interrompu par le but en or.

lundi, mai 07, 2007

L'Espagne confirme, L'Angleterre stagne

Avec trois équipes en demi-finales, on attendait une finale de la Champions League 100% anglaise. Pourtant le Milan AC a fait démentir les pronostics.
En écrasant Manchester United 3 à 0, Milan a vengé l'AS Roma qui au tour précedent avait été écrasé par Man U sur le score sans appel de 7 à 1 (voir http://footeur.blogspot.com/2007/04/impressionnant.html).

Milan qui n'a pas fait un parcours extraordinaire (voir http://footeur.blogspot.com/2007/04/milan-nest-pas-au-mieux.html) a su se resaisir au moment le plus important. Milan est l'équipe italienne taillée pour la Ligue des champions. Elle participe à sa troisième finale en 5 ans.

Liverpool a du aller jusqu'aux tirs-aux-buts pour éliminer Chelsea. Avec 600 millions d'euros investis en 3 ans, le milliardaire Abramovich (propriétaire de Chelsea FC) n'aura toujours pas de couronne européenne à exhiber.

La finale opposera donc le 23 mai à Athènes le Milan AC contre le FC Liverpool pour ce qui sera la revanche de la finale de 2005 (remporté aux tirs-aux-buts par Liverpool après avoir été mené 3 à 0).

Les Espagnols, eux, ont réussi le pari d'obtenir une finale 100% espagnole (ayant placé trois équipes en demi-finales). Les catalans de l'Espanyol de Barcelona ont éliminé les Allemands du Werder de Brême.
La finale opposera le 16 mai l'Espanyol de Barcelona contre le FC Sevilla de Frederic Kanouté.

mercredi, avril 18, 2007

EURO 2012 en Pologne et en Ukraine

Michel Platini (nouveau président de l'UEFA) remercie ceux qui l'ont porté au pouvoir.

Tous les pronostics donnaient l'Italie victorieuse dans la course à l'organisation de l'Euro 2012. C'est pourtant la candidature polono-ukrainienne qui a remporté la mise bien qu'elle offre moins de garanties, sur le papier, que celle présentée par les Transalpins. En effet, les deux nations ne disposent pas encore de toutes les infrastructures indispensables, notamment en matière de transports, au bon déroulement d'un tel événement. Ni la Pologne, ni l'Ukraine n'ont encore organisé la moindre compétition majeure malgré leur tradition footballistique. On peut légitimement voir derrière ce choix de l'instance européenne la patte de Michel Platini, qui s'était présenté comme le candidat des "petits pays" à l'élection de l'UEFA en janvier dernier.
En attendant la période des grands travaux, les stades prévus pour accueillir les rencontres ont déjà été choisis. En Pologne, les matches se dérouleront à Gdansk, Poznan, Varsovie et Wroclaw et en Ukraine à Dniepropetrovsk, Donetsk, Kiev et Lvov. Le choix de ces enceintes posent d'ores et déjà le problème de l'éloignement entre les différentes aires de jeu. La Pologne, pour qui c'était la première candidature, devra également régler rapidement ses problèmes de corruption dans le football afin de ne pas se décrédibiliser sur le plan international.

L'Italie rattrapée par les affaires

L'Italie n'aura finalement pas échappé à la sanction pour toutes les affaires qui empoisonnent son football depuis près d'un an. Le scandale des matches truqués et les problèmes de violence aux abords des stades, qui avaient coûté la vie à un policier après le derby sicilien entre Catane et Palerme le 2 février dernier, auront certainement pesé lourd dans la balance. Michel Platini (citoyen français d'origine italienne) a apparement oublié toutes les années passées à la Juventus de Turin. Cependant les récentes déclarations du parquet de Palerme, il y a moins d'une semaine, qui jetaient l'opprobre sur quinze nouvelles rencontres de Serie A lors de la saison 2004-2005, auront peut-être été la goutte d'eau qui a fait déborder le vase.

jeudi, avril 12, 2007

Anglais et Espagnols sont les meilleurs d'Europe

Ces deux nations se partagent les meilleures places pour les demi-finales des Coupes d'Europe.

La plus prestigieuse: UEFA Champions League
3 clubs anglais en demi-finale (Manchester United, Chelsea et Liverpool)
L'Italie est representée par le Milan AC (candidat au titre)

La moins médiatisée: UEFA Cup
3 clubs espagnols en demi-finale (Espanyol Barcelona, FC Sevilla et Osasuna)
L'allemagne est representée par le Werder de Breme (candidat au titre)


Rendez-vous au mois de Mai pour savoir si Espagnols et Anglais seront sur le toit du football européen.

mardi, avril 10, 2007

Impressionnant !!!


C'était un quart de finale retour de Ligue des champions...et Manchester United l'a emporté à domicile face à l'AS Roma (7-1) ! Les joueurs d'Alex Ferguson, qui comptaient un but de retard après le match aller, ont ouvert le score par Michael Carrick (11e), puis ont mené 3-0 à la 18e, 4-0 à la pause... Carrick a réalisé un doublé, tout comme Cristiano Ronaldo. Patrice Evra a marqué le dernier but des Mancuniens. Incroyable.

jeudi, mars 29, 2007

La France mise sur les jeunes


Raymond Domenech a retrouvé sa voix d'entraîneur national impliqué dans la post-formation, jeudi, pour évaluer devant la presse la performance de sa jeune équipe de France contre l'Autriche (1-0). Chose rarissime, la France a marqué par Benzéma, âgé de 19 ans, servi par Nasri, 19 ans aussi, et le milieu de terrain titulaire comptait deux joueurs de 22 ans (L. Diarra et Diaby) et un ancien de 23 ans, Rio Mavuba. Si Domenech a répété qu'il ne se posait pas la question de l'âge des joueurs qu'il aligne - «ils ont 19 ans, mais Pelé à 16 ans était bien champion du monde avec le Brésil : quand on a du talent, il faut l'exprimer» - l'ancien sélectionneur des Espoirs a comparé la performance de sa jeune équipe à un simple premier pas.
«C'était un match amical, a d'abord fait remarquer le sélectionneur. Il faudra les revoir quand il y a des points importants à la clé, avec le couteau sous la gorge, dans un contexte décisif. Mais au moins, c'est bien de ne pas avoir raté l'ouverture. Pour la suite, il faut encore lutter, combattre». Et protéger cette jeune génération qui éclot. «Je ne veux pas faire avec ces jeunes ce qu'ont fait d'autres générations avant eux, qui croyaient manger tout le monde et ont sombré en se croyant arrivé trop vite. Mais il savent qu'il faudra travailler, c'est un avantage. On pourrait dire que je ne leur rend pas service s'ils prenaient la grosse tête. Mais je ne serais pas entièrement responsable, ils ne pourraient s'en prendre qu'à eux-mêmes. Ils doivent savoir que ce n'est pas parce qu'ils ont fait ça que leur place est garantie pour le prochain match.»
« Bien jouer ne suffit pas »
Sur le contenu du match, Raymond Domenech regrette notamment que l'équipe n'ait pas cherché (ou ne soit pas parvenue) à être plus efficace. «Il y a des petits regrets dans la concrétisation. Bien jouer, ça ne suffit pas. C'est nécessaire, agréable, mais il faut marquer, il faut être plus ''tueur'' et pas jouer pour jouer. Mercredi, on s'est fait plaisir, mais ce n'est pas suffisant, ni pour moi ni pour les joueurs.» Les deux prochains matches, contre l'Ukraine et la Géorgie, seront notamment des épreuves plus décisives. Sans que cela ait forcément un rapport de cause à effet, Raymond Domenech a aussi indiqué qu'il allait être obligé de sortir de son équipe-type habituelle, si tard dans la saison, pour privilégier les hommes en forme.
Son équipe-type habituelle était jusqu'ici la suivante : Coupet - Sagnol, Thuram, Gallas, Abidal - Makelele, Vieira - Ribéry, Malouda - Henry, Trezeguet ou Saha. Henry sera toujours absent en juin, comme il l'a confirmé à L'Equipe mercredi. Par ses deux grosses prestations, Anelka semble avoir gagné une place, à ses côtés ou en son absence. Sans affirmer que cette équipe-type appartient au passé, il y a parmi les dix autres joueurs trois Lyonnais pour lesquels le sélectionneur craint une «démobilisation», deux Anglais qui auront arrêté leur championnat depuis trois semaines, et Sagnol, qui aura achevé deux semaines plus tôt une saison entamée sans préparation. Au contraire, des joueurs comme Mexès ou Escudé seront alors en plein championnat. Neuf mois après la finale de la Coupe du monde, les Bleus ont gagné mercredi avec un seul joueur du 9 juillet titulaire au coup d'envoi, et ont remporté deux matches en alignant cinq joueurs qui n'avaient jamais été retenus auparavant. En somme : il y a désormais une grosse demi-douzaine de titulaires potentiels en plus. Sur le papier, ça change beaucoup de choses avant France - Ukraine.

dimanche, mars 18, 2007

World Cup can boost African renaissance

South Africans may be basking in the joy of hosting the 2010 World Cup, but we should not forget that this is a time for the whole continent to rejoice. The event provides all of Africa with the chance to open the eyes of the world to our rich potential -- that which will perhaps be the most important legacy of what has been described as "Africa's World Cup".

Indeed, it is hoped that the money generated, exposure given and awareness created from the tournament will provide a major boost to the beautiful game from Cape Town to Cairo.

We have seen some of the benefits at the recent African Union heads of state summit in Addis Ababa, Ethiopia, when the Confederation of African Football (CAF), celebrating its 50th year, launched 2007 as the International Year of African Football -- a move backed by Fifa president Sepp Blatter, who was in attendance.

The idea is that national associations from around the continent get involved in football-related events in the build-up to 2010, and in doing so raise their profile in their own confederation, as well as in Fifa.

The term that is bandied about most often is "providing a legacy" to the African people. This is perhaps the first World Cup where the football on the field is almost secondary to the tangible change that hosting this tournament could have on the lives of people across the continent.

And while success on the field of play is important, we must hope too for success off it to provide that much-vaunted "legacy". The aim is to highlight social, health and community issues, to reinforce peace and nation building in the region, to add extra support for national leagues, to improve the training of African football executives and to promote the development of sports medicine in Africa.

Fifa also backed the commitment to making this a truly African event by offering a record six places at the tournament to teams from the continent. South Africa qualified automatically as hosts, with five further places up for grabs in a qualifying format that will mirror the one for the 2006 World Cup in Germany.

Aside from newfound expertise in sports administration, the tournament will also provide a massive financial boost for the maintenance and improvement of Fifa's "Goal" programme, which aims to assist financially underprivileged associations, providing headquarters, natural and artificial turf pitches, training and education centres, and other facilities essential to a basic infrastructure.

All of those assets are badly needed in just about every one of Africa's 53 national associations.

But perhaps the biggest benefit to the continent will be found in opening the eyes of a sceptical world to the ingenuity, enthusiasm and potential of the African people. Still, in this day and age, there is very little understanding around the globe of what makes our continent tick.

We need to advertise our potential, and only then will the plight of the average African improve. The 2010 World Cup, a tournament that will be watched by an estimated total viewership of six billion people in more than 200 countries, is the perfect vehicle to promote the continent. It should be treated like a giant four-week marketing campaign.

Perhaps Blatter said it best when he commented: "The World Cup to South Africa sends a message to the world that the football family trusts Africa. We are optimistic that football can make things smooth and Africa can be looked upon with respect rather than being patronised."

What a difference a little bit of respect would make to all of our lives.

From Nick Said. Nick is editor-special projects for Kick Off magazine

mercredi, mars 14, 2007

Cameroon recall for Joseph Desire Job

France-based striker Joseph Desire Job has been recalled to the Cameroon national team after a five-year absence.

The 28-year old, who plays for Ligue 1 side Sedan, was named in a 20-man squad to face Liberia in a Nations Cup qualifier in 24 March.

Job, who last played for the Indomitable Lions in the 2002 Nations Cup, is expected to begin training with the squad in Yaounde on 20 March.

Interim manager Jules Nyonga called the Sedan striker after he scoring seven goals in LIgue 1 so far this season.

Cameroon are top of Group 5 with six points from two games, leading Liberia and Equatorial Guinea, both on three points, and Rwanda who have yet to score a point.

Barcelona forward Samuel Eto'o is back in the squad, having returned to club action in February following a four-month absence due to a knee injury.

Hamburg defender Timothee Atouba also returns for the first time since since last year's African Nations Cup in Egypt.

Werder Bremen defender Pierre Wome was left out after failing to show for last month's friendly against Togo.

Wome has not played an international since he missed the October 2005 penalty that would have qualified the team for the 2006 World Cup in Germany.

Squad

Goalkeepers: Idriss Kameni (Espanyol), Souleymanou Hamidou (Denizlispor)

Defenders: Rigobert Song (Galatasaray), Geremi (Chelsea), Benoit Angbwa (FC Krylia Sovetov), Ateba Bilayi (Châteauroux), Timothee Atouba (Hamburg SV), Andre Bikey (Reading)

Midfielders: Eric Matoukou (Racing Genk), Jean Makoun (Lille), Stephane Mbia (Rennes), Saidou Alioum (Nantes), Salomon Olembe (Olympique Marseille), Daniel Ngom Kome (Real Valladolid), Justice Wamfor (Germinal Beerschot)

Forwards: Joseph Desire Job (Sedan), Idrissou Mohamadou (MSV Duisburg), Landry Nguemo (Nancy), Samuel Eto'o (Barcelona), Achille Webo (Osasuna)

samedi, mars 03, 2007

Drogba enfin


L’attaquant du Chelsea FC Didier Drogba a été élu joueur africain 2006 devant Samuel Eto'o, couronné lors des trois précédentes années.

Une année pleine de succès
Lors d’une cérémonie à Accra (Ghana), Drogba, 28 ans, a reçu cette récompense pour la première fois après avoir mené la Côte d’Ivoire lors de la finale de la Coupe d’Afrique des nations 2006 en Egypte. Le pays a également atteint pour la première fois la phase finale de la Coupe du Monde de la FIFA en Allemagne et Drogba a remporté un second titre consécutif de Champion d'Angleterre avec le Chelsea FC.

Récompense pour Taiwo
Derrière le buteur international camerounais du FC Barcelona Samuel Eto'o, Michael Essien, le milieu de terrain de Chelsea et du Ghana, a obtenu la troisième place pour la seconde année consécutive dans le vote des 53 sélectionneurs africains. Deux autres récompenses ayant une importance en Europe ont été celle du meilleur jeune footballeur, décernée au défenseur de l’Olympique de Marseille Taye Taiwo (21 ans). L’entraîneur portugais Manuel José a reçu le prix du meilleur entraîneur pour son succès avec le club égyptien de Al-Ahly.

samedi, janvier 27, 2007

Platini marque le but le plus important de sa carrière


La frontière entre le bien et le mal

Michel Platini, grand compétiteur devant l'Eternel, a une fois de plus gagné - il y a des gens comme ça. Plus fort encore: tous les amoureux du football éprouvent l'agréable sentiment que cette victoire est aussi un peu la leur. Parce qu'on leur a expliqué que le Français, dont les géniaux coups de patte continuent à enchanter les mémoires, favoriserait la beauté et la moralité du jeu en détrônant ce vieux Suédois qui ne pense qu'à l'argent.

La vérité, à l'image de la frontière entre le bien et le mal, n'est sans doute pas aussi nette. «Platoche» et ses beaux discours méritent un crédit certain. Pour les gens du football d'en bas, qui ne caressent le pactole permanent que des yeux, il suscite même de l'espoir. S'il tient promesse, ce sera beau. Sinon, ce sera grave.

Fidèle compagnon de Sepp Blatter, patron du foot mondial en sa qualité de président de la FIFA, le nouveau boss de l'UEFA envisage «quelque chose de formidable» entre les deux instances suprêmes, jusqu'ici en bisbille. Cette réconciliation annoncée ne constitue, sur le papier, pas un mal. Dans les faits, on n'est pas sûr qu'elle représente un bien: la frontière est si ténue. Certains, comme le journaliste britannique Andrew Jennings, l'homme dont les sérieux travaux accusent Blatter de corrompre à tous vents, hurlent déjà à la catastrophe...

Michel Platini a rarement déçu sur un terrain. Il ne faudrait pas qu'il s'y mette dans un bureau. Avant le verdict, il évoquait son «testament footballistique» en cas de défaite. Sa victoire ressemble à un acte de naissance. On espère qu'il n'y a pas eu erreur sur le choix du parrain.