FIFAWC2010: count on Brazil and USA

Whoever wants to win 2010 World Cup will have Brazil to contend with...

So what does the Confederations Cup 2009 tell us? First and foremost, that Brazil will be the team to beat at the 2010 World Cup, to be held in South Africa again.

The Seleçao has such an enormous talent base to pick from, just think, Ronaldinho, Diego, Ronaldo and Adriano were all left out this time. Dunga's team is also very "European", meaning it is less exhibitionist and more effective than the normal Brazil squad, which in practice means the ability to win even when they're having an off night. And the team fielded in Africa, as well as being very talented in attack with 14 goals from 5 games, also proved it had character and was hungry for victory. In other words, a solid, honest-to-goodness squad. As Kakà proved, named best player of the final, in his words at the end of the game: "What did we say to each other at half-time, down 0-2?" Yes, we can". A bit of an Americanism but basically that "we're going to win because we're Brazil." We can do anything.

Disappointing displays
From Italy first and foremost. Disappointing for its lack of results and for losing two matches out of three. And for a pretty poor game too. They have a year to regain some ground and to try again here in South Africa when the stakes will be much higher. Another team whose hopes were dashed was Spain, sent back as well to try again. Their 35-long unbeaten record was broken by the cinderella of the tournament, i.e. USA, who wrecked all hopes of a super face-off with Brazil.

South Africa passed the test
As organising country of the Confederations Cup and the forthcoming World Cup, South Africa passed the test. It goes without saying that there's still room for improvement, but the first African country to host a World Cup has a good chance of pulling it off nicely. Work is underway all over the country, but the infrastructures are already in acceptable shape. The stadiums (good) didn't sell out due to the high ticket prices and difficulty getting hold of tickets, but the Bafana Bafana fans, especially the coloured fans, were genuinly enthusiastic supporters who were great fun as they enjoyed each game. Even their team performed well, beaten by Brazil then Spain but without losing face.

Stars Luis Fabiano was crowned top scorer of the tournament, having put on a very fine show. Kakà had some dazzling moments, during which he was unrelenting and unstoppable. Lucio, Maicon and Felipe Melo all played well. Several Spanish players looked good too, such as Torres and Xabi Alonso, and an upcoming Piquè. Italy found solace in Rossi. Some lesser known players who played well were US team members Donovan and Dempsey, and Zidan for Egypt. Another two names we might be hearing more of on our home turf are Parker and Tshabalala.

Confeds Cup: Brésil sur le toit du monde, comme d'habitude

Le Brésil est revenu de nulle part lors de la finale de la Coupe des Confédération. A Johannesburg, les Brésiliens ont conservé leur titre en battant les Etats-Unis 3-2 après avoir pourtant été menés 2-0 à la pause
Le but de la victoire a été inscrit à la 84e par le capitaine Lucio. Sur un corner botté par Elano, le défenseur du Bayern Munich s’élevait le plus haut au second poteau pour ne laisser aucune chance à Howard. Abandonné par ses défenseurs depuis de longues minutes, le gardien d’Everton était le seul encore en mesure de s’opposer à cette vague brésilienne qui ne cessait de déferler.
A une année de la Coupe du monde, le Brésil a annoncé la couleur lors de cette Coupe des Condéférations. Même si elle a souffert lors de ses deux derniers matches contre l’Afrique du Sud et les Etats-Unis, la formation de Dunga a démontré tout au long du tournoi qu’elle avait trouvé la bonne formule avec un dispositif qui place Kaka en soutien direct des deux attaquants. Elle possède surtout l’arme absolue pour aller loin avec Luis Fabiano. Auteur d’un doublé lors de cette finale pour remettre son équipe à flot, le joueur du FC Séville a inscrit 5 buts sur l’ensemble du tournoi. Un tel buteur est un cadeau du ciel.

Une rupture somptueuse

La première période avait épousé un scénario de rêve pour les Etats-Unis. Les Américains avaient, en effet, le bonheur de concrétiser leurs deux premières occasions. A la 10e, Dempsey était le plus prompt pour reprendre victorieusement un centre de Spector.
Le 2-0 tombait à la 27e sur une rupture menée et conclue avec un brio extraordinaire. Donovan partait depuis son camp, recherchait ensuite le soutien d’Altidore avant d’ajuster avec un remarquable sang froid le malheureux Julio Cesar. Apès avoir terrassé l’Espagne, le rêve continuait pour des Américains qui n’avaient battu qu’une seule fois le Brésil en quinze confrontations avant cette finale de Johannesburg.
Il devenait toutefois moins idyllique quelques secondes après la reprise. Sur un action en pivot, Luis Fabiano remettait le Brésil dans le match en réduisant le score. Cette réussite changeait tout. Les Américains lâchaient prise physiquement et ne devaient qu’à un miracle de Howard devant Lucio et qu’à une erreur de l’arbitre qui ne validait pas un but de la tête de Kaka de ne pas concéder l’égalisation avant l’heure de jeu. Elle tombait toutefois à la 74e par l’inévitable Luis Fabiano à l’affût après une frappe de Robinho sur la transversale.

L’Espagne sur le fil

Quatre jours après sa terrible désillusion contre les Etats- Unis, l’Espagne a cuelli à Rustenburg la troisième place aux dépens de l’Afrique du Sud au terme d’un match à rebondissement. C’est un coup franc de Xabi Alonso à la 107e minute qui a permis aux Champions d’Europe de s’imposer 3-2.
Les Bafana Bafana pensaient d’abord tenir la victoire, grâce à un but de Mphela (73e). Mais Güiza a réussi un doublé en une minute (88e et 89e) avant que Mphela ne signe le sien d’un coup franc lointain, puissant et imparable (93e).

Coup de théâtre a la Confed Cup 2009

Incroyable retournement de situation.
1. Le champion du monde (Italie) a été écrasé par le champion d'Amérique du Sud (Brésil) :3 à 0.
2. Le champion d'Afrique (Egypte) a été écrasé par le champion d'Amérique du Nord (USA) :3 à 0.
Revenons sur ces évenements.

Groupe A:
Ce groupe a respecté la logique. Le champion d'Europe et favori du tournoi (Espagne) a remporté tous ses matchs (8 buts marqués, 0 encaissé) et se qualifie pour les demi-finales du tournoi.
Le pays organisateur (Afrique du Sud) prend logiquement la 2e place, taillée sur mesure pour elle (victoire contre la Nouvelle Zélande et nul contre l'Irak).

Groupe B:
Toutes les équipes de ce groupe pouvait encore être qualifiées pour les demis finales avant la 3e et dernière journée de la phase des poules de la Coupe des Confédérations de la FIFA.
Le champion d'Amérique du sud (Brésil) a fait respecté son rang de quintuple champion du monde et a remporté tous ses matchs (10 buts marqués, 3 encaissés) et se qualifie pour les demi-finales du tournoi.
Le champion du monde en titre et quadruple champion du monde (Italie) a extrêmement déçu. Pour la 1ere fois de son histoire, l'Italie a perdu contre une équipe africaine (Egypte). Ensuite, elle s'est faite humilier par le Brésil (défaite mortifiante 3 à 0), et a gagné 3 à 1 contre les USA réduits à 10. Marcelo Lippi, entraineur de l'équipe nationale italienne, avait prévenu que cette coupe ne lui sert uniquement qu'à valider une composition d'équipe en rodage. Il n'est pas intéressé à la gagner, car il se concentre sur la FIFAWC2010. A mon avis, vu la débâcle face aux Égyptiens, Lippi n'a pas souhaité continuer l'aventure et a préféré saborder son équipe.
Alors qu'on attendait alors la qualification des Égyptiens, qui ont miraculeusement battu les champions du monde en titre, les champions d'Afrique en titre se sont effondrés face aux USA qui reviennent de nulle part. Dernier du groupe avant la 3e journée (deux écrasantes défaites contre le Brésil et l'Italie), les USA voulaient juste sauver l'honneur pour partir en beauté. Comme d'accoutumée, les équipes africaines font la fête après une victoire historique au lieu de se concentrer sur le tournoi. les Égyptiens étaient méconnaissables durant le match. Ils ont perdu gros sur ce match. De plus, ils ne seront probablement pas qualifiés pour la WC2010, tant l'Algérie domine leur groupe de qualification.

Demi-finales:

mercredi -> Espagne vs USA
jeudi -> Brésil vs RSA

J'espère une victoire finale du Brésil.

FIFA Confed Cup 2009: Mes 3 favoris

Un petit tour d'horizon de mes trois favoris pour le titre de vainqueur des confédérations.

1. l'Espagne
Championne d'Europe

Les champions d'Europe 2008 n'ont encore remporté aucun titre de champion du Monde dans la catégorie reine, bien qu'ils aient participé à 12 des 18 phases finales. Leur récent triomphe à l'UEFA EURO 2008 représente leur premier titre important 44 ans après l'UEFA EURO 1964 remporté à domicile. Qu'à cela ne tienne, les Ibères, grands techniciens, sont dans une forme olympique et font naturellement partie des favoris de la compétition (avec la victoire du Barca a l'UEFA Champions League).

Le nouveau sélectionneur Vicente Del Bosque, nommé en juillet 2008, succède au légendaire Luis Aragonés, l'homme qui a mené la Furia Roja à la conquête de l'Europe et à qui l'Espagne doit en grande partie son actuelle série d'invincibilité.

Habitué à officier dans l'ombre de ses joueurs, Del Bosque présente un CV idéal, lui qui a entraîné le Real Madrid entre 1999 et 2003, l'une des périodes les plus prolifiques de l'histoire du club. Depuis son arrivée aux manettes, la sélection a continué à gagner et reste invaincue depuis sa défaite 0:1 en amical face à la Roumanie, à domicile, en novembre 2006.

Doté d'une placidité inébranlable, Del Bosque a les qualités nécessaires pour diriger une formation composée de joueurs titulaires dans les plus grands clubs du monde. Et ce groupe encore jeune, et pourtant habitué au plus haut niveau, a déjà obtenu des places d'honneur dans les sélections nationales de jeunes.

Ces dernières années, l'Espagne a profité de la maturité de quelques-unes de ses stars évoluant à l'étranger, preuve que le footballeur ibère s'exporte, bien que la majorité des internationaux préfèrent encore jouer en Liga.

La Furia Roja se construit à partir de la génération montante du milieu de terrain emmenée par Xavi, Andrés Iniesta, Marcos Senna ou encore Cesc Fabregas, qui amène la touche technique. Dans le but, Iker Casillas figure parmi les meilleurs au monde, et en attaque, David Villa et Fernando Torres sont deux avant-centres de grande classe.

Les supporters espagnols attendent avec impatience Afrique du Sud 2009. Ils voient en cette compétition une occasion unique pour l'Espagne de confirmer son entrée parmi les grandes nations du ballon rond. En attendant la Coupe du Monde de la FIFA 2010 où joueurs et entraîneur aspirent au titre suprême.

Sélectionneur : Vicente Del Bosque
Joueurs à suivre : Iker Casillas, David Villa, Xavi, Fernando Torres


2. l'Italie
Championne du Monde

Les Azzurri devront surveiller leurs arrières car tous les prétendants auront à cœur de les faire chuter de leur piédestal. Le banc italien est de nouveau occupé par Marcello Lippi, qui avait conduit l'Italie au titre suprême lors d'Allemagne 2006. Après une terne prestation à l'occasion de l'UEFA EURO 2008 sous la coupe de Roberto Donadoni, Lippi a été rappelé pour réaffirmer la suprématie italienne sur la scène internationale.

Depuis son élimination face à l'Espagne en quart de finale de Suisse/Autriche 2008, l'Italie est montée en régime avec une série de six matches sans défaite, même s'il faut noter que les adversaires rencontrés n'étaient pas à sa mesure. Une nuance apparue brutalement lorsqu'il s'est agit de rencontrer le Brésil en amical au mois de février dernier (0:2).

L'influence de Lippi ne saurait être négligée : lors de ses deux mandats, la Squadra Azzurra a compilé 31 matches sans défaite, ce qui lui confère la plus longue série d'invincibilité avec une sélection nationale - record partagé avec Javier Clemente (Espagne) et Alfio Basile (Argentine).

Les adversaires de l'Italie risquent bien de se casser les dents sur sa défense coffre-fort. Avec le chiffre impressionnant de 0,58 but encaissé par match, celle-ci possède la meilleure défense des qualifications pour la Coupe du Monde de la FIFA.

Alors que certains cadres écrivent le dernier chapitre de leur carrière, Lippi devra bientôt s'employer à redéfinir le dispositif de l'équipe. Malgré l'âge moyen élevé de ses joueurs, c'est la première fois que l'Italie va participer au rendez-vous confédéral. La Squadra Azzurra est l'équipe qui a remporté le plus grand nombre de Coupes du Monde de la FIFA derrière le Brésil.

Sélectionneur : Marcello Lippi
Joueurs à suivre : Luca Toni, Fabio Cannavaro, Gennaro Gattuso

3. le Brésil
Champion d'Amérique du Sud

Sur le papier, le Brésil est toujours l'équipe à battre mais, depuis quelque temps, la Seleçao peine à confirmer lors des grands tournois. Après des débuts chaotiques dans les qualifications pour Afrique du Sud 2010, les hommes de Dunga semblent désormais bien partis pour rester la seule équipe à n'avoir jamais manqué une phase finale de Coupe du Monde de la FIFA.

Soumis à une énorme pression depuis sa nomination, l'ancien milieu de terrain international compte bien profiter de la Coupe des Confédérations de la FIFA pour démontrer à ses critiques que son équipe est capable de gagner en pratiquant un football de rêve. Le match amical remporté contre l'Italie (2:0) en février dernier a amené un premier élément de réponse avec notamment un Robinho dans une forme étincelante. Mais le buteur de Manchester City n'est qu'un des nombreux talents en attaque à disposition de Dunga.

La Seleçao est également en train de se bâtir une défense de fer. Et Julio Cesar, le gardien, n'a concédé aucun but lors des cinq dernières rencontres de l'année 2008 qualificatives pour la Coupe du Monde de la FIFA 2010. Grâce à cette solidité et au réalisme de leurs attaquants, les supporters brésiliens s'attendent à ce que leurs protégés ramènent le trophée de la Coupe des Confédérations de la FIFA 2009 à la maison, comme cela avait été le cas en 1997 et en 2005.

Sélectionneur : Dunga
Les joueurs à suivre : Julio Cesar, Robinho, Kaká, Ronaldinho

Ancelotti, nouvel entraineur de Chelsea FC

Carlos Ancelotti a signé un contrat de trois ans avec les Blues, vainqueurs samedi de la Coupe d’Angleterre contre Everton (2-1). Il prend effet le 1er juillet.

Hiddink avait remplacé le Brésilien Felipe Scolari en cours de saison, et n’avait pas souhaité poursuivre cet intérim, préférant se concentrer à temps plein sur son poste de sélectionneur de la Russie.

Ancelotti, remplacé à l’AC Milan par le Brésilien Leonardo, est âgé de 50 ans. Sa mission sera d’offrir enfin aux « Blues » la Ligue des champions, que le richissime propriétaire Roman Abramovich n’a toujours pas réussi à faire trôner dans sa vitrine.

Après des passages à la Reggina, à Parme et à la Juventus de Turin, Ancelotti a débarqué à Milanello en 2001. En 8 saisons il a remporté un scudetto (2004) et deux Ligue des champions (2003 et 2007), auxquels s’ajoutent deux Supercoupe d’Europe, un Mondial des clubs, une Supercoupe d’Italie et une Coupe d’Italie. Il est l’un des six entraîneurs à avoir remporté la C1 en tant que joueur (de l’AC Milan) et entraîneur.

« Je veux mettre toute mon énergie au service de Chelsea. La Ligue des champions est pour moi la plus belle compétition au monde, tous souhaitent la remporter. Chelsea a désormais besoin de la gagner », a déclaré Ancelotti sur la télévision officielle du club.

« Ancelotti a prouvé sur une longue période sa capacité à construire des équipes et a toute l’expérience requise pour le poste », a expliqué Chelsea dans un communiqué.

Cette nomination intervient environ un an après les premiers pourparlers entre l’Italien et Roman Abramovich, qui l’avait déjà sondé pour prendre la succession de l’Israélien Avram Grant, a récemment révélé Ancelotti dans son autobiographie.